La diversité est une des marques de l’agriculture ontarienne. Les fermiers ontariens ont toujours accueilli les innovations, comme des équipements agricoles de plus en plus sophistiqués et des outils de gestion de la ferme. Ils se sont également adaptés aux changements que le marché a connu au fil des ans grâce à l’addition de nouveaux animaux et cultures comme le bison, l’autruche, le ginseng et l’échinacée afin de répondre à la demande des consommateurs dans de nouveaux secteurs de l’économie. Le changement est inévitable en agriculture; toutefois, bien des aspects de la vie sur la ferme sont demeurés les mêmes depuis l’arrivée des Loyalistes. Les longues journées, les changements du climat, la dépendance envers des marchés en constante évolution et l’importance de la famille sont des données constantes qui façonnent la vie et le travail quotidiens. |
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Les premiers fermiers utilisaient la méthode du semis à la volée, dans laquelle ils jetaient les graines au hasard dans les champs. Malheureusement, seulement la moitié de ces graines réussissaient à pousser et le sarclage comme la récolte s’avéraient difficiles. Le semis en rang, par contre, permet de réduire la perte de semences, de biner le sol afin d’enlever les mauvaises herbes et d’obtenir de meilleures récoltes. Cliquer pour un agrandissement (227ko) |
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John Thomson, un ex-commissionnaire de la Royal Navy, devient un fermier à Orillia au début du 19e siècle. Ses journaux racontent son service dans la marine ainsi que sa vie au Haut-Canada. La semaine du 26 juillet au 1er août 1837, typique pour ce fermier toujours occupé, inclut la coupe du foin et la plantation des légumes. Outre ces tâches quotidiennes, John note la naissance de son fils et d’un veau. Cliquer pour un agrandissement (180ko) |
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John Macfie, un fonctionnaire du ministère des Terres et Forêts, a passé sa carrière dans plusieurs régions du nord de l’Ontario, et il y a raffiné ses talents de photographe amateur. Les pommes de terre roses hâtives dans le panier de William Moore descendent probablement de celles cultivées des décennies plus tôt au poste Mattagami par la Compagnie de la Baie d’Hudson. Cliquer pour un agrandissement (131ko) |
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Les femmes ont toujours joué un rôle vital sans la vie rurale. Les premières pionnières travaillaient de concert avec leurs époux afin de se construire une nouvelle vie dans leur pays d’adoption, apportant leur contribution tant dans leur foyer que dans l’entreprise agricole. Aujourd’hui, le pourcentage de fermes administrées uniquement par des femmes augmente continuellement. Cliquer pour un agrandissement (72ko) |
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Peu d’odeurs sont aussi délicieuses que celles des fruits et de légumes frais du marché, et la population d’Hamilton profite depuis 1837 des arômes qui émanent du marché des fermiers. Le marché a toujours été plus qu’un lieu de magasinage; c’est aussi un lieu de rencontre où les voisins se rencontrent, échangent des nouvelles et font le plein d’énergie au contact de la foule. Cliquer pour un agrandissement (277ko) |
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L’éducation et la recherche sont essentielles pour que les fermes d’aujourd’hui continuent à produire pour les familles de demain. Les fermiers ontariens se fient aux recherches effectuées au Collège d’agriculture de l’Ontario, à Guelph, depuis l’ouverture de l’établissement en 1874. Ce plan montre une ferme expérimentale datant des premières années du collège, où on pouvait se livrer à des tests agricoles contrôlés. | |||
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