![Photographie : Femme non identifiée, [vers 1875]](../../../../../en/explore/online/slavery/pics/24792_woman_270nf_ad2.jpg)
Le journal d’Elizabeth Russell décrivait le comportement « insolent », « maraudeur » et « menteur » des esclaves de Russell : Peggy et ses enfants. Les lettres et annonces de journaux de Peter Russell révèlent l’ampleur de ses efforts pour se débarrasser d’eux.
Ce comportement indésirable aurait pu avoir été une manœuvre délibérée. Les esclaves utilisaient parfois ce type de stratégie pour obtenir ce qu’ils désiraient. Les historiens de l’esclavage appellent ce comportement « la résistance des esclaves ».
Peter Russell, le receveur général du Haut-Canada, et sa sœur Elizabeth étaient les propriétaires de Peggy et de ses enfants
![huile sur toile : L’hon. Peter Russell [Président et administrateur du Haut-Canada 1796–1799]](../../../../../en/explore/online/slavery/pics/ac693124_russell_270.jpg)
![Photographie : Femmes non identifiées, [vers 1875]](../../../../../en/explore/online/slavery/pics/28819_woman_child_270.jpg)
Cliquer pour un agrandissement (213ko)
Femmes non identifiées, [vers 1875]
Fonds Alvin D. McCurdy,
Code de référence : F 2076-16-4-7
Archives publiques de l'Ontario, I0028819
![Photographie : Enfant non identifié, [vers 1875]](../../../../../en/explore/online/slavery/pics/28820_little_boy_270.jpg)
La plupart des esclaves étaient vendus ou légués à des membres de la famille jusqu’à l’adoption de la loi abolissant cette pratique. Dans son testament, le colonel John Butler a laissé à son petit-fils, à sa petite-fille et à son fils, respectivement :