« Tous les étudiants, autochtones et non autochtones, doivent apprendre que l’histoire de ce pays n’a pas commencé en 1492, ou même avec l’arrivée des Vikings beaucoup plus tôt. Ils doivent apprendre à connaître les nations autochtones que les Européens ont rencontrées, leur riche patrimoine linguistique et culturel, ce qu’ils ont ressenti et pensé tandis qu’ils traitaient avec des personnages historiques comme Champlain, La Vérendrye et les représentants de la Compagnie de la Baie d’Hudson. Ils doivent apprendre pourquoi ils ont négocié des traités et qu’ils les ont négociés intelligemment, avec intégrité et de bonne foi. Ils doivent apprendre pourquoi les dirigeants autochtones et les aînés ont tant lutté pour défendre ces traités mal rédigés, ce qu’ils représentent à leurs yeux et pour quelle raison ils ont été ignorés par les colons et les gouvernements eurocanadiens. » (traduction libre) |
RG 10/R216 – Fonds du ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien (comprend le journal de Samuel Stewart, le journal de Duncan Campbell Scott, des photographies des voyages menant à la signature du traité, divers fichiers de la série Rouge, y compris le Traité no 9 - Enquête de l'Agence de la Baie James sur le Traité no. 9 [...] et le Traité de la baie James – (Traité no 9) - des rapports, del a correspondence, projets, mémoires, décrets, de la correspondance, des rapports et des découpures se rapportant aux adhésions au Traité no 9, et recueils de liste de paye du traité)
Grand chef Dr Stan Louttit, « The Real Agreement As Orally Agreed To: The James Bay Treaty-Treaty No. 9 ».
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