es négociations en vue d’un traité de paix avaient débuté en 1813 mais traînaient en longueur, chaque partie essayant de se rallier un avantage qui lui permettrait de conclure la guerre en sa faveur. Ni l’un ni l’autre camp n’ayant remporté une victoire décisive, le traité de paix fut signé à Gand en décembre 1814, rétablissant ainsi le statu quo. La lenteur des communications de l’époque explique que l’affrontement tragique de la Nouvelle-Orléans ait eu lieu, même si la guerre était finie. La perspective haut-canadienne sur la guerre et sa conclusion est bien exprimée dans une lettre qu’adressait George Ridout à Abraham Nelles. |
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Un observateur américain, Nathan Ford, déplorait que les États-Unis n’aient pas réussi à se doter d’un avantage militaire net au cours des quelques mois précédant la fin des hostilités.
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